La Porte Numéro 7

Description

Script Vidéo

Bien sûr ! Voici une fin encore plus mystérieuse et troublante :

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Titre : “La Porte Numéro 7”

La caméra tremble légèrement. Un souffle court résonne dans l’obscurité.

Je cours. Les couloirs défilent à toute vitesse. Mes mains glissent sur les murs humides. J’entends encore les pas derrière moi… Lents. Pesants. Inexorables.

Tout a commencé il y a une heure à peine. Je ne pensais pas que cette simple visite tournerait au cauchemar.

Quand j’ai accepté ce défi, c’était juste un jeu entre amis : explorer cet ancien hôtel abandonné, y passer dix minutes et ressortir en riant. Mais à peine entré, la porte derrière moi s’est refermée violemment. Impossible de l’ouvrir. Puis, il y a eu ce bruit… Comme un murmure.

J’ai avancé dans le couloir sombre. L’air sentait la moisissure et le renfermé. Les murs portaient encore les vestiges d’un passé oublié : de vieux tableaux tordus, des tapisseries en lambeaux. Puis, au bout du couloir, j’ai vu cette porte. Numéro 7.

Elle n’était pas comme les autres. Plus ancienne, plus massive. Et surtout… elle était entrouverte.

J’ai tendu la main, poussé doucement… et ce que j’ai vu m’a glacé le sang.

Une pièce remplie de vieilles photos accrochées au mur. Des photos de moi. De mes amis. De ma famille. Datées de ces dernières semaines. Quelqu’un… m’espionnait.

D’un coup, j’ai senti une présence derrière moi. Un frisson m’a parcouru l’échine. Quand j’ai voulu me retourner, la porte s’est refermée avec fracas. J’ai tambouriné dessus, crié… Mais aucun son ne sortait.

Puis, dans l’ombre, un chuchotement.

— Tu es enfin là…

Le silence. Un grincement.

La porte s’est rouverte toute seule. Mais cette fois… Le couloir avait changé. Il était plus long. Les murs semblaient s’approcher, vibrer presque.

Et c’est là que j’ai entendu les pas. Derrière moi. Lents. Pesants. Plus proches.

Je cours depuis. Je cherche une sortie. Mais ce lieu semble se refermer sur moi. Je tourne un angle, trébuche, me relève. La porte numéro 7 est à nouveau devant moi. Comme si j’avais tourné en rond.

Un souffle chaud caresse ma nuque.

Je me retourne lentement…

Et je vois enfin son visage.

Un choc. Une incompréhension totale.

C’est moi.

Mais pas moi… Pas vraiment. Un double, une version plus pâle, aux yeux noirs comme des abysses. Il sourit lentement.

— C’est l’heure.

Tout devient flou. Mon cœur bat à tout rompre. L’ombre me tend la main.

Et avant que je ne puisse fuir… Tout devient noir.

Un dernier son. Un murmure.

— Bienvenue…

FIN.

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Qu’en penses-tu ? Cette fin ajoute une touche encore plus intrigante et inquiétante. Si tu veux qu’on en fasse un projet vidéo, dis-moi !