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L'amour entre Léo et Iris : une danse de contradictions

Description

Deux âmes sœurs ou deux âmes en guerre ? 💔🎉 Qu'en pensez-vous ? #Amour #Philosophie #Relation #Drama #VexubCréation

Script Vidéo

Il s'appelait Léo. Elle s'appelait Iris.
Ils s’étaient rencontrés à l’université, dans un cours de philosophie. Deux êtres brillants, intenses, passionnés, et surtout, terriblement similaires dans leurs contradictions. Très vite, ils étaient devenus inséparables. Amants, amis, ennemis parfois. Leur amour ressemblait à une danse de feu : magnifique, mais douloureuse à regarder trop longtemps.

Léo l’adorait. Iris le détestait.
Iris l’aimait. Léo la fuyait.
Mais toujours, ils revenaient l’un vers l’autre. Comme deux aimants qui ne savent pas s’ils doivent s’embrasser ou s’arracher.

Ils se faisaient du bien. Et du mal.
Ils se disaient des mots doux… puis des choses qui coupaient.
Ils étaient chacun la meilleure partie de l’autre — et parfois, la pire.

Léo disait :

« Quand t’es pas là, j’étouffe. Mais quand t’es là, j’ai peur. »
Iris répondait :

« T’es mon refuge et ma tempête, t’es ma meilleure ennemie. »
Ils se comprenaient dans leurs silences, mais s’égaraient dans leurs mots.
Ils construisaient des promesses sur des ruines, et reconstruisaient encore, parce qu’aucune douleur n’était plus insupportable que l’absence.

Un jour, Iris est partie. Elle a claqué la porte doucement, comme on ferme un chapitre sans oser dire qu’on n’écrira plus.
Léo ne l’a pas retenue. Il l’a laissée partir… parce qu’il pensait que c’était mieux comme ça.

Mais le soir, dans son lit vide, il murmurait son prénom comme une prière.
Et de l’autre côté de la ville, Iris rêvait de lui chaque nuit, le cœur battant au rythme des souvenirs.

Des mois ont passé. Ils se sont revus, un jour de pluie. Par hasard — ou peut-être pas.
Rien n’avait changé, et tout était différent.

Ils ont souri.
Ils ne se sont pas dit grand-chose.
Mais leurs regards parlaient encore le même langage.

Parce qu’au fond, on ne se défait jamais complètement d’un amour comme celui-là.
Celui qui te casse, mais te complète.
Celui qui t’épuise, mais t’anime.
Celui qui, même dans la douleur, a quelque chose de vrai.

Iris a fini par dire :

« Peut-être qu’on est pas faits pour être heureux ensemble… mais je crois pas qu’on puisse l’être séparés. »
Et Léo a simplement pris sa main.

Ils n’étaient pas parfaits. Ils ne le seraient jamais.
Mais ils étaient réels.
Et parfois, c’est tout ce qu’il faut.