
Preview 15 sec
Une nuit sans règles
Description
Script Vidéo
Je n’avais rien prévu. Rien calculé. Et pourtant, mon corps, lui, semblait avoir deviné.
Ma robe était plus légère que d’habitude. Ma peau, plus sensible.
Chaque frisson que je sentais annonçait quelque chose… mais je ne savais pas encore quoi.
Il est arrivé en silence. Il n’a pas toqué. Il a juste poussé la porte entrouverte.
Je ne l’ai pas regardé tout de suite. J’ai continué de boire mon verre, dos à lui,
face à la fenêtre.
“Tu savais que je viendrais, pas vrai ?”
Sa voix grave m’a électrisée.
Je n’ai pas répondu. J’ai juste posé mon verre… et je me suis retournée.
Il m’a déshabillée du regard. Lentement. Sans retenue.
Comme s’il prenait son temps pour se souvenir de chaque courbe, chaque détail.
Comme s’il m’avait attendue toute sa vie.
Et ce soir… il avait enfin le droit de me goûter.
Il a posé ses mains sur mes hanches.
Pas timidement. Fermement.
Et il m’a attirée contre lui.
La tension entre nous n’était plus une tension. C’était une évidence.
Ses lèvres ont trouvé mon cou, mes épaules, puis cette ligne entre mes seins,
comme une promesse brûlante.
Je l’ai laissé faire.
J’ai même ouvert un peu plus ma robe, juste pour sentir ses mains là où je les voulais.
Et là… tout a basculé.
Il m’a soulevée, sans effort. Comme s’il avait attendu ce moment depuis toujours.
Il m’a portée jusqu’au mur, mes jambes enroulées autour de sa taille.
Et j’ai senti sa chaleur contre la mienne, sans barrière, sans filtre.
Nos souffles se sont mêlés, désordonnés, haletants.
Ses baisers étaient plus profonds, plus affamés.
Ses doigts… précis, impatients.
Il savait ce qu’il faisait.
Et moi, je savais que je ne voulais pas que ça s’arrête.
Il m’a explorée comme une carte au trésor.
Chaque soupir, chaque gémissement, l’excitait davantage.
Et moi, je me suis laissée emporter. Je n’étais plus une femme.
J’étais un feu qu’il attisait sans relâche.
Il m’a faite sienne. Encore. Et encore.
Contre le mur. Sur la table.
Puis au sol, sur le tapis, là où la lumière de la lune dessinait nos ombres emmêlées.
Cette nuit-là, il n’y avait plus de règles.
Je lui ai demandé de ne pas être doux.
Il m’a exaucée.
J’ai griffé son dos.
Il a mordu ma peau.
Nos corps n’étaient plus séparés. Nous étions un. Une pulsion. Un besoin.
Une urgence animale, enrobée de désir brut.
Quand nos corps se sont enfin relâchés, il m’a gardée contre lui, haletant.
Sa main caressait mes cheveux, ses lèvres encore posées sur mon épaule nue.
Il n’a pas parlé. Moi non plus.
On s’est juste regardés… longtemps.
Puis il a souri.
“Tu veux que je parte ?”
J’ai soufflé : “Essaie seulement…”