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Le Carton Mort : Une Histoire Hantée
Description
Script Vidéo
Connait tu l'histoire qui a poussé à la création du cartoon regular show ?
Par une nuit d’automne, où le vent sifflait comme un hurlement à travers les arbres morts, Kai et Rigby, deux amis inséparables et bricoleurs du dimanche, décidèrent de créer quelque chose de "spécial" pour Halloween. Leur idée ? Un immense carton personnalisé, grandeur nature, dans lequel on pouvait "enterrer" symboliquement les peurs des gens. Ils l'appelèrent : le Carton Mort.
Ils fouillèrent une décharge isolée à la sortie de la ville, réputée pour ses objets "hantés", abandonnés par des collectionneurs trop superstitieux. Là, parmi les restes rouillés et les jouets cassés, ils trouvèrent un étrange carton noirci, avec des symboles griffonnés à l’intérieur. Une voix dans la tête de Rigby murmura :
— Prends-le. Il t’appartient.
Kai, lui, ne ressentit rien, mais Rigby insista pour utiliser ce carton comme base. Une fois chez eux, ils commencèrent à le transformer : ils peignirent des visages cadavériques sur les parois, accrochèrent de fausses chaînes rouillées, et cousirent un coussin pour que “les morts soient confortables”.
Mais dès le premier soir, des choses étranges commencèrent à se produire.
Le carton bougeait... seul.
Ils pensaient à un courant d’air. Jusqu’à ce que Rigby le voie s’ouvrir lentement à trois heures du matin, alors qu’ils dormaient dans le salon. À l’intérieur, il aperçut un double de lui-même, allongé, les yeux ouverts, morts… mais souriants.
Kai tenta de brûler le carton le lendemain, mais les flammes s’éteignirent d’elles-mêmes, laissant une odeur de chair pourrie dans l’air. Alors ils essayèrent de le refermer et de le ramener à la décharge. Trop tard. Le carton refusait de bouger.
Depuis, chaque nuit, le carton s’ouvre, lentement. À l’intérieur, un nouveau cadavre apparaît : une version tordue, pourrie, de ceux qui s’en approchent. Jusqu’au soir où Kai ne rentra jamais chez lui.
Rigby, seul, se réveilla dans le carton. Il regarda autour de lui.
Des visages.
Des rires.
Et une voix familière, rauque, sortant de l’ombre :
— À ton tour, Rigby.
Et le carton se referma.
On dit que si on le trouve, ce carton, et qu’on ose y jeter un œil… il vous montre votre propre fin.
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Tu veux une suite ? Ou une version avec un style plus réaliste ou cartoon ?