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Le Casse de la Banque de France à Toulon
Description
Script Vidéo
Toulon. Ville portuaire, située sur la côte méditerranéenne.
En ce mois de juillet 1992, la ville est paisible. Les touristes profitent du soleil, les habitants vaquent à leurs occupations.
Mais derrière cette façade tranquille, quelque chose d’invisible se prépare.
La Banque de France, située au cœur de la ville, est un bâtiment imposant, discret, mais redoutablement sécurisé.
À l’intérieur, des centaines de millions de francs en circulation.
Argent liquide, lingots, devises étrangères.
Tout y passe.
Cette nuit-là, comme chaque nuit, les coffres sont verrouillés. Les alarmes activées. Le système de sécurité est censé être infaillible.
Et pourtant…
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Partie 2 – L’intrusion
Il est environ 2h du matin. Les rues sont désertes.
Aucun bruit.
Et dans l’ombre… un commando passe à l’action.
Ils sont au moins cinq.
Des hommes en noir, organisés, méthodiques.
Ils connaissent les lieux.
Ils savent où sont les caméras — et surtout comment les éviter.
Ils ne forcent pas l’entrée.
Ils utilisent une clé.
Ou un badge.
Peut-être même les deux.
Aucune alarme ne sonne.
Aucune trace de violence.
Tout semble presque… normal.
Ils se dirigent immédiatement vers la salle des coffres.
Là encore, pas de panique, pas de casse.
Les codes ? Ils les connaissent déjà.
Ils désactivent certaines alarmes secondaires, coupent une partie des systèmes internes.
Et les portes s’ouvrent.
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Partie 3 – Le vol
Le contenu des coffres est monumental :
Des liasses de billets soigneusement empilées.
Des lingots d’or.
Des sacs scellés remplis de devises étrangères.
Les braqueurs remplissent des sacs militaires.
Ils agissent calmement, sans stress, comme s’ils avaient répété cette scène des dizaines de fois.
On estime que l’opération dure moins de deux heures.
Vers 4h du matin, ils quittent les lieux.
Par la même porte.
Sans rien forcer.
Sans déclencher la moindre alerte.
Et surtout… sans laisser la moindre trace.
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Partie 4 – La découverte
Au petit matin, les employés arrivent.
Et ce qu’ils découvrent les laisse sans voix.
Une partie des coffres est vide.
Et pas juste un compartiment.
Plusieurs. Des millions envolés.
Très vite, c’est l’état de choc.
La direction contacte la police.
Puis les autorités nationales.
Le parquet de Marseille est saisi.
Un vol d’une telle ampleur ?
Dans une Banque de France ?
C’est presque du jamais vu.
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Partie 5 – L’enquête commence
Les enquêteurs de la Brigade de Répression du Banditisme sont envoyés sur place.
Très vite, ils comprennent que quelque chose ne colle pas.
Aucune trace d’effraction.
Aucun témoin.
Aucun bruit la nuit précédente.
L’accès semble s’être fait… avec des codes valides.
Quelqu’un de l’intérieur a parlé.
Ou pire… quelqu’un de l’intérieur a participé.
On interroge les agents de sécurité. Les techniciens. Les responsables.
Un nom revient. Celui d’un ancien vigile, récemment renvoyé.
Mais rien ne le relie directement au casse.
Les pistes sont minces. L’affaire devient vite un casse-tête.
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