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Omar Raddad : coupable ou victime ?
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Omar Raddad, coupable ou victime ? Tout commence en 1991 à Mougins, un paisible village français. La petite histoire d’Omar, un jardinier d'origine marocaine, bascule brutalement. Le corps de Ghislaine Marchal, une riche veuve, est retrouvé dans sa villa, et le nom d’Omar apparaît rapidement comme principal suspect. Des preuves accablantes émergent, notamment cette fameuse inscription sur le mur : "Omar m'a tuer". Une phrase qui va hanter l'affaire.
À l'époque, les médias s'emparent de l'affaire, créant une véritable tempête autour de son procès. Omar se défend, clamant son innocence, mais l'image du coupable déjà collée à lui. Les témoignages se multiplient, les éléments de preuve s'accumulent, et pourtant, quelque chose ne semble pas coller.
Les avocats d'Omar mettent en lumière des zones d'ombre dans l'enquête. Qui est vraiment cette femme, et quels étaient ses liens avec Omar ? Les contradictions se multiplient et soulèvent des questions. Les débats durent, l’angoisse monte.
Finalement, Omar est condamné à 18 ans de réclusion. La justice est-elle passée ? Des années plus tard, une émotions persistante pèse sur ce dossier. Des preuves laissent à penser que d'autres étaient impliqués, que l'injustice règne encore. Les soutiens d'Omar s'organisent, et des procès en révision sont demandés.
Aujourd'hui, l’affaire Raddad demeure un mystère, une énigme. La vraie vérité reste inaccessible, mais elle interroge. Qui est le véritable coupable ?