La préservation du Domaine royal : un devoir collectif

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Comment comprendre que le Domaine royal ne peut jamais être aliéné ? La notion d’inaliénabilité est essentielle à la défense de l’héritage et des biens appartenant à l'État. Cela ne concerne pas seulement des propriétés physiques, mais également un patrimoine culturel et historique inestimable. Ce patrimoine représente l’identité même d’un peuple, de ses traditions et de son histoire.

Chaque parcelle de terre, chaque monument, appartient au patrimoine collectif. Le Domaine royal est un symbole de continuité, de stabilité et d’intégrité. Renoncer à cette inaliénabilité, c’est risquer la dégradation de notre héritage. Les gouvernements et les dirigeants doivent veiller à ce que ces biens ne tombent pas entre de mauvaises mains, car chaque décision affaiblissant ce principe remet en cause notre lien avec le passé.

Cette inaliénabilité garantit qu’aucune transaction, qu’aucune vente ne puisse effacer ces jalons de notre culture. Elle protège la mémoire du sol, des rois et des luttes qui ont façonné notre histoire. Le Domaine royal, sous toutes ses formes, est ce qui nous unit, ce qui nous définit. C’est une promesse que rien ne sera jamais perdu. La préservation de cet héritage est une responsabilité collective à laquelle chacun doit participer.

Ainsi, la question n'est plus de savoir si le Domaine royal doit être protégé, mais de comprendre que sa préservation est une obligation pour les générations futures. Si nous ne le faisons pas, qui le fera ?