Achraf Hakimi : Le divorce qui révèle une manipulation financière

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*Achraf Hakimi : Le hold-up financier qui a humilié une femme*

L'histoire aurait pu être belle : un footballeur talentueux, une actrice rayonnante, un mariage qui ressemblait à un conte de fées. Mais derrière les sourires et les paillettes, Achraf Hakimi préparait un coup tordu qui allait faire de son divorce une leçon de manipulation financière.

Tout commence en 2020. Hiba Abouk, actrice respectée en Espagne, épouse la star marocaine du PSG. Deux enfants naissent de cette union. À l'écran, le couple joue les amoureux parfaits. Mais en coulisses, Hakimi ourdit sa stratégie.

*Le piège se referme en 2023* : quand Hiba demande le divorce, elle ignore qu'elle marche droit dans un mur. Elle s'attend à toucher la moitié de la fortune du joueur - des villas luxueuses, des comptes bien garnis, des voitures qui coûtent plus cher qu'une vie entière de travail. La douche est glaciale : *tout appartient à la mère de Hakimi*.

Oui, vous avez bien lu. Le salaire faramineux du PSG ? Viré sur le compte de maman. La sublime villa parisienne à 8 millions ? Au nom de maman. Les voitures, les investissements, tout. Hakimi, lui, est officiellement un "sans-le-sou" sur le papier. Un tour de passe-passe juridique préparé avec une précision chirurgicale.

*Hiba Abouk se retrouve flouée, humiliée, bafouée. Elle qui a mis sa carrière en pause, porté leurs enfants, joué le jeu du couple parfait... se retrouve avec une misérable pension alimentaire pour les petits. Pendant ce temps, Hakimi parade en Ligue 1 comme si de rien n'était. Son entourage parle de "prudence financière", mais ne nous y trompons pas : c'est un **calcul froid et cynique*, une trahison déguisée en stratégie.

*La morale de cette histoire sordide ?* Qu'un contrat de mariage ne vaut rien face à un homme qui a tout prévu pour briser sa femme financièrement. Hakimi a gagné. Hiba a perdu. Et le pire ? Le système lui donne raison. Une leçon cruelle pour toutes celles qui croient encore à l'amour sans conditions.

(Ce récit prend clairement parti pour Hiba Abouk, dénonçant ce qui ressemble à une escroquerie matrimoniale légalisée.)