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La géopolitique africaine face à la domination occidentale

Description

Urgence ou opportunité ? Que va-t-il se passer en Afrique ? 🎉 #Géopolitique #Stratégie #Afrique Vidéo créée avec Vexub.

Script Vidéo

Parce que dans l’urgence, les Occidentaux choisiront la facilité. Et quoi de plus "accessible" — dans leur logique impériale — qu’un continent historiquement affaibli, diplomatiquement divisé, militairement vulnérable ? Dans ce contexte, faut-il s’attendre à une nouvelle vague de terrorisme importé, sous couvert de lutte contre l’insécurité ?
À des coups d’État sponsorisés ? À un retour militaire des puissances étrangères ? La question n’est plus théorique. Elle est géostratégique. Car derrière les mots — coopération, stabilité, démocratie — se cache une vérité brutale : le retour assumé de l’Occident sur le sol africain pour sécuriser des ressources vitales dans un monde qui bascule.
Et pendant que les missiles pleuvent sur Téhéran, que les cyberattaques se multiplient contre les infrastructures iraniennes, que les lobbies poussent les États-Unis à entrer en guerre, les regards des stratèges énergétiques occidentaux sont déjà tournés vers le Nigeria, le Mozambique, l’Algérie, le Tchad, et même les gisements inexploités du Niger et du Mali. Oui, cette guerre-là ne sera pas seulement militaire. Elle sera économique, énergétique, et coloniale. Et ceux qui ne voient que le Proche-Orient risquent de rater le véritable théâtre d’opérations : l’Afrique.
Elle s’inscrit dans la continuité directe de l’introduction, en détaillant les acteurs, alliances, logiques stratégiques et les implications directes pour l’Afrique. On entre dans la mécanique géopolitique mondiale. Le conflit qui se profile ne sera pas un simple affrontement régional. Il s’annonce comme un basculement stratégique global, où chaque front — militaire, énergétique, diplomatique — s’imbrique dans un engrenage de domination mondiale. Et tout commence par l’alliance otano-israélienne.
Israël ne frappe jamais seul. Son activisme militaire au Moyen-Orient est soutenu, financé, couvert et protégé par l’OTAN — principalement les États-Unis et le Royaume-Uni. Depuis des années, Tel-Aviv multiplie les frappes préventives en Syrie, les assassinats ciblés en Iran, les cyberattaques contre les centrifugeuses nucléaires, les campagnes de désinformation massives… sans aucune sanction internationale. À cette stratégie s’ajoute un réseau d’influence mondial, bien installé dans les grandes capitales occidentales, au sein des médias, des cercles de pouvoir politique et des institutions financières. Un réseau qui permet de façonner le narratif, justifier les agressions, et imposer une lecture unique des rapports de force : Israël, victime éternelle ; l’Iran, menace absolue. Mais cette fois, le jeu a changé. Téhéran est plus qu’un adversaire régional : c’est le verrou géopolitique qui empêche l’OTAN de contrôler totalement le Moyen-Orient. Soutenu par la Russie et la Chine, l’Iran représente un pilier de l’axe multipolaire, hostile à l’unilatéralisme américain.