L'Effet Lucifer : Quand le Contexte Transfigure l'Homme

Description

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Imagine par exemple l’histoire de l’expérience de Stanford : des étudiants jouent le rôle de gardiens et de prisonniers dans une fausse prison. Très vite, certains gardiens deviennent méchants, humilient, punissent, alors qu’ils n’étaient pas comme ça avant.
Pourquoi ? Parce que le décor, l’uniforme, et le pouvoir les transforment.
Un autre exemple, c’est ce qui s’est passé à la prison d’Abu Ghraib, en Irak. Là-bas, des soldats américains, qui étaient des gens “ordinaires” dans la vie de tous les jours, se sont mis à maltraiter des prisonniers, juste parce qu’ils se sentaient tout puissants, cachés derrière leurs uniformes et encouragés par l’ambiance autour.
L’effet Lucifer, c’est ça : quand le contexte, l’autorité ou la pression du groupe font ressortir le pire chez nous, même si, au départ, on n’est pas une mauvaise personne.
Ça nous rappelle que, pour rester gentils et justes, il faut parfois avoir le courage de dire non, même si tout le monde suit la foule.
Imagine par exemple l’histoire de l’expérience de Stanford : des étudiants jouent le rôle de gardiens et de prisonniers dans une fausse prison. Très vite, certains gardiens deviennent méchants, humilient, punissent, alors qu’ils n’étaient pas comme ça avant.
Pourquoi ? Parce que le décor, l’uniforme, et le pouvoir les transforment.
Un autre exemple, c’est ce qui s’est passé à la prison d’Abu Ghraib, en Irak. Là-bas, des soldats américains, qui étaient des gens “ordinaires” dans la vie de tous les jours, se sont mis à maltraiter des prisonniers, juste parce qu’ils se sentaient tout puissants, cachés derrière leurs uniformes et encouragés par l’ambiance autour.
L’effet Lucifer, c’est ça : quand le contexte, l’autorité ou la pression du groupe font ressortir le pire chez nous, même si, au départ, on n’est pas une mauvaise personne.
Ça nous rappelle que, pour rester gentils et justes, il faut parfois avoir le courage de dire non, même si tout le monde suit la foule.