Les légendes criminelles de France

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Ce bandit a volé plus de 100 millions d’euros.
Dans l’histoire de la France, certains criminels ont marqué les esprits par leur audace. Par exemple, Albert Spaggiari, le roi du casse. Dans les années 1970, ce voleur a orchestré un braquage incroyable à la Société Générale de Nice, là où il a dérobé l’équivalent de 50 millions d’euros.
Étonnamment, il n’a jamais utilisé d’armes. Son plan ? Un tunnel de 8 mètres de long, creusé sur plusieurs mois.
Les autorités ont été stupéfaites. L’exécution était si raffiné. Mais ce n’est pas tout. Après avoir été arrêté, il s’est évadé de prison avec un stratagème audacieux.
Récemment, un autre nom émerge : Jacques Mesrine, souvent surnommé « l’ennemi public numéro un ». Cet homme-là ne faisait pas que voler, il s’est retrouvé impliqué dans des enlèvements et des executions.
Sa carrière criminelle a fait chavirer toute la société française des années 60. Une véritable légende est née. Mais encore plus frappant, il est devenu une figure admirée par certains.
Jusqu’à sa mort en 1979, il a orchestré une série incroyable de coups, défiant la police à chaque pas.
Cet engouement pour le crime s’est répandu, posant des questions sur la glorification des bandits.
Aujourd'hui, la France se souvient de ces personnages fascinants. Leur histoire nous fait réfléchir sur la frontière entre le bien et le mal.
Qui a vraiment écrit leur légende ? Ces bandits ont non seulement volé de l’argent, mais aussi nos perceptions.