La lutte absurde pour le pouvoir

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Ce président est collé à son fauteuil.
Emmanuel Macron, assis dans le majestueux siège présidentiel, a trouvé une manière pour le moins surprenante de s’y ancrer. Une super glue, pour être exact. Marine Le Pen entre alors avec un contrat de passation, les yeux rivés sur lui, perplexe.
"Je suis fusionné avec la République !" crie-t-il avec une intensité théâtrale, les bras grands ouverts. Si lui part, la France part avec lui.
Elle se met alors à tirer le fauteuil, aussi déterminée qu’amusée. "Laisse-moi faire", dit-elle, mais Macron éclate : "Même Napoléon n’a pas réussi à me faire bouger !"
À ce moment-là, un éclat de rire résonne dans la pièce. Le ridicule de la situation est frappant, et chacun commence à réfléchir à la fragilité du pouvoir.
Marine, la sourire en coin, réalise qu’il ne plaisante pas. Cela devient une guerre de volonté entre deux leaders. Qui abandonnera le terrain en premier ?
En jouant la comédie, Macron soulève une question plus profonde : jusqu'où ira-t-il pour rester au pouvoir ? Le suspense s'intensifie.
Les aides, spectateurs de ce drame absurde, échangent des regards étonnés et rient en regrettant déjà le retour à la normale.
La tension devient insupportable. Que se passera-t-il si ce combat devient réel ?
Marine, lasse, annonce : "Sache que je peux toujours apporter des ciseaux."
Les conséquences de ce moment absurdes pourraient redéfinir leurs carrières politiques.
En fin de compte, qui sait si cette scène cocasse n’est pas le reflet d’une lutte pour la France ?