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La rencontre mystique au sein de l'école magique

Description

"Prête à découvrir le secret du banquet magique ? 🕊️ #Élégance #Mystère #Aventure"

Script Vidéo

Le carrosse s’arrêta au pied d’un escalier majestueux de pierre blanche qui semblait monter jusqu’au ciel. Hugo descendit le premier et lui offrit galamment sa main pour l’aider. Luisa taille fine belle forme cheveux long jusqu'au fesses tres belle sortit, serrant le médaillon de sa mère contre sa poitrine comme un talisman protecteur.
L’air du soir était doux, chargé d’une odeur de jasmin et de quelque chose d’autre, quelque chose d’électrique, de magique, qui faisait vibrer sa peau. Des dizaines d’autres élèves convergeaient vers l’entrée principale, riant, s’interpellant avec familiarité. Tous portaient l’uniforme : pour les filles, une minijupe plissée bleu marine, des chaussettes hautes, un chemisier blanc impeccable et une cape qui tombait jusqu’aux genoux. Les garçons avaient le même uniforme mais avec un pantalon droit et une cape légèrement plus longue.
« Viens, je vais te montrer où récupérer ton uniforme avant le banquet », dit Hugo en la guidant vers une porte latérale.
Ils traversèrent des couloirs dont les murs étaient couverts de tapisseries animées représentant des batailles magiques spectaculaires, des créatures mythologiques qui bougeaient et clignaient des yeux, des paysages qui changeaient au fil des saisons sous leurs yeux. Luisa essayait de tout absorber à la fois, émerveillée et intimidée par cette surcharge sensorielle.
Ils croisèrent un groupe d’élèves bavards, puis un autre. Ils traversèrent un couloir particulièrement large, éclairé par des lanternes magiques qui projetaient des ombres dansantes sur les tapisseries anciennes.
Soudain, les élèves devant eux s’écartèrent. Pas de manière évidente, mais comme une vague naturelle qui s’ouvre instinctivement. Les conversations se firent plus basses, presque des murmures. Les regards se détournèrent avec respect ou peut-être avec crainte.
Luisa comprit pourquoi une seconde plus tard.
Il marchait au centre du couloir comme s’il avait été construit pour lui, comme si l’espace lui-même se pliait à sa volonté. Grand – facilement un mètre quatre-vingt-cinq – avec une carrure athlétique qui se devinait parfaitement sous son uniforme impeccable. Ses cheveux d’un blond presque blanc, presque argenté, étaient légèrement en bataille, comme s’il venait de passer la main dedans, mais même ce désordre apparent semblait calculé pour être parfait.
Mais ce furent ses yeux qui la figèrent sur place, qui lui coupèrent littéralement le souffle.
Gris acier. Froids comme la glace d’hiver. Perçants comme des lames. Le genre d’yeux qui vous transperçaient et voyaient des choses que vous préfériez cacher, qui lisaient en vous comme dans un livre ouvert.
Il avançait avec une grâce féline, une économie de mouvements qui trahissait des années d’entraînement rigoureux et de discipline de fer. Ses mains étaient détendues le long de son corps, mais Luisa remarqua la cicatrice – une petite marque blanche sur son flanc droit, visible là où sa chemise était légèrement entrouverte, comme une brûlure ancienne.